"JOIE N° 5": Analyse des émissions et comment parler en publique
Salut à vous, chers amis !
Aujourd’hui nous sommes à notre cinquième journée de notre session. Nous avons commencé la journée par une prière : un chant et un rappel de la liturgie du jour (Luc 13, 18-21). Comme la petite graine de moutarde chacune de nous a un potentiel à développer – a commenté Sr. Viky – et le faire grandir nous demande des efforts, un peu comme les « douleurs de l’enfantement ». Apprendre quelque chose n’est pas toujours facile mais cette souffrance a un sens et on dépasse car on veut arriver au but. 
Aujourd’hui nous sommes à notre cinquième journée de notre session. Nous avons commencé la journée par une prière : un chant et un rappel de la liturgie du jour (Luc 13, 18-21). Comme la petite graine de moutarde chacune de nous a un potentiel à développer – a commenté Sr. Viky – et le faire grandir nous demande des efforts, un peu comme les « douleurs de l’enfantement ». Apprendre quelque chose n’est pas toujours facile mais cette souffrance a un sens et on dépasse car on veut arriver au but.
Ensuite nous avons appris quelques stratégies pour bien parler en publique. Sr. Viky nous demande de nous libérer des pensées négatives pour être détendues et avoir confiance en soi même. Il est important, quand on parle en publique, d’avoir très claire les idées que nous voulons communiquer.
Quand une personne parle en publique parfois elle sent la trouille, ses jambes tremblent, la voix se coupe et le cœur bat fort. Selon Viktor Frank, à la place de lutter contre ces faiblesses (la peur, le pessimisme, etc.) il faut les accepter. Au lieu de dire « je ne vais pas me tromper » il faut accueillir cette faiblesse. Et beaucoup de fois, quand on l’accepte, on arrive à la dépasser, elle même disparaît toute seule.
Avant de parler en publique on doit prêter attention à l’endroit où se déroulera la rencontre, au langage non verbale, aux destinataires. Les contenus doivent être expression des propres convictions et connaissances ;Ils doivent être exprimés de façon claire, accessible au public. Qui parle, peut avoir un texte avec les idées principales. Normalement l’exposé a trois parties : l’introduction, le développement du thème et la conclusion. On exprime ses propres idées en donnant des exemples, en citant d’autres auteurs, mais toujours en cherchant de rendre attrayante la causerie. Pour cela il faut avoir le contact visuel avec le publique et être attentif à ses réactions.
Si c’est une communication de type journalistique on doit toujours répondre aux cinq questions : qui, où, quoi, pourquoi, quand. Si c’est le cas on peut aussi dire le « comment ».
Comme deuxième élément de la journée nous écoutons et analysons les émission d’hier. Monsieur Kipré nous demande de faire des critiques nous mêmes. Il apporte des corrections et de réponses à nos inquiétudes :
- Lors des émissions on doit être naturel
- Se mettre d’accord avec le technicien par rapport au « Conducteur de l’émission » et aux signes.
- Si le générique présente l’animateur et le technicien, ce n’est pas nécessaire de se présenter de nouveau
- On peut dire dans l’introduction au programme, les différents points du thème proposé.
Monsieur Kipré félicite les participants et il les encourage avec de belles paroles. Merci Monsieur Pierre.
Nous finissons la journée en apprenant un chant pour la fête d’au revoir de demain !
Quelle belle journée ! quelle joie !
A demain pour le dernier jour de notre session. Que Dieu vous bénisse !
